dimanche 7 février 2010

Architecture verte / Bientôt une certification LEED platine pour une unifamiliale de Sainte-Martine

Voici quelques bons extraits d'un article publié sur MontérégieWeb...

Panneaux solaires qui chauffent l'eau et l'air; un isolant fait de papier recyclé dans les murs; des murs de paille et de chanvre; des crépis à la chaux; un système de récupération de l'eau de pluie; un système qui récupère la chaleur des eaux usées; même une toilette à compost !

Benoît Lavigueur, originaire de Sainte-Clotilde, et Catherine St-Jacques-Thériault, native de Valleyfield, sont les maîtres d’œuvre de ce projet de grande envergure qui vient contribuer à aider les familles à vivre dans un environnement sain et qui vise également à protéger l'environnement.

Benoit et Catherine habitent leur nouvelle maison depuis novembre. Il s'agit en fait d'un projet-pilote et cette maison sert de maison modèle. Approché par l'APCHQ pour former des entrepreneurs, Benoit organise des conférences et des visites dans sa maison.

Pour construire une maison écologique, il faut être prêt à débourser environ 5 % de plus du coût que d'une maison ordinaire. Ainsi, une maison qui coûterait normalement 200 000 $ à construire coûtera 10 000 $ de plus. « Et quand on considère qu'un compte d'électricité annuel d'une maison comme la mienne ne s'élève qu'à 300 $ ou 400 $ alors que pour une maison « normale », on parle davantage de près de 2000 $, on peut récupérer notre investissement en cinq ans ! » assure l'entrepreneur.

Et les autorités municipales de Sainte-Martine ... ont décidé d'encourager la construction de ce type de maison avec une subvention équivalant à une année de taxes municipales.

Et à quand donc une liste d'entrepreneurs certifiés LEED dans notre région?




A+

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lundi 1 février 2010

CITSO : Valleyfield éponge 500 000 $

1. À Salaberry-de-Valleyfield, les usagers du CITSO qui embarquent au marché public ne peuvent plus y acheter leurs titres de transport durant la fin de semaine, le comptoir de service étant alors fermé. Pas fort... surtout pour celui ou celle qui n'a pas la monnaie requise. Alors, pourrions-nous acheter nos titres de transport au Tim Hortons récemment ouvert à deux pas du marché ? Les usagers pourraient ainsi «faire d'une pierre quatre coups» : acheter un titre, un beigne, un café... et se tenir au chaud en attendant que le bus tourne le coin !  ;-)

2. D'autre part, je lisais la suivante dans le Journal Saint-François en ligne : « La Ville de Salaberry-de-Valleyfield devra verser une somme de 500 000 $ pour éponger le déficit de 750 000 $ accumulé par le Conseil intermunicipal de transport du Sud-Ouest (CITSO) pour les années 2006, 2007 et 2008. »

Or, ayant Angrignon pour destination, j'embarque souvent dans l'autobus en compagnie de moins de 10 passagers. Le chauffeur en embarque et en débarque quelques-uns en route. Donc, combien sommes-nous au maximum dans l'autobus lors de certaines heures de certains jours ? 10 ? 15 ? Le CITSO doit bien tenir à jour, compiler et analyser quelques statistiques d'achalandage détaillées à ce sujet, non ?

Alors, le CITSO ne pourrait-il pas ajuster la dimension de ses véhicules (et donc peut-être diminuer ses coûts d'exploitation et ses déficits récurrents) en fonction des heures et jours d'achalandage sans trop d'inconvénients ?

Car je trouve pour le moins aberrant de voyager dans un immense autobus, tout de même fort confortable, en compagnie de moins de 15 passagers...

Mes salutations routières aux membres du Comité !

A+

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